2017:SB06 – Exigences relatives aux rapports financiers au 31 mars 2017

Texte de la note

Comme les années passées, les conseils scolaires doivent soumettre le rapport de mars afin qu’il soit possible d’intégrer les organismes du secteur parapublic dans les états financiers de la province. L’objectif du rapport est de faire état des soldes des comptes d’actif et de passif au 31 mars 2017, des revenus et des dépenses de la période de 7 mois, des renseignements supplémentaires, des soldes interorganismes du périmètre comptable du gouvernement et des activités au titre des immobilisations pour la période de 7 mois.

Rapport pour la période de 7 mois – Les exigences sont très semblables à celles de l’an dernier. Le Ministère indique cinq grands changements apportés aux formulaires et aux méthodes de calcul.

Rapport sur les procédés spécifiés – Les conseils scolaires sont tenus de demander à leurs vérificateurs externes d’effectuer les procédés spécifiés pour certains tableaux liés aux rapports financiers au 31 mars 2017.

Liste des emprunts privés – À la demande de l’Office ontarien de financement, le Ministère effectue une collecte ponctuelle de données sur les emprunts privés des conseils scolaires (c.-à-d. tous les prêts accordés par des institutions financières). Les conseils sont tenus de fournir des renseignements sur les prêts à court terme et les prêts à long terme en date du 31 mars 2017. Les renseignements demandés sont les suivants : type de prêt (p. ex., prêt bancaire, prêt par une autre entité privée), nom de l’institution financière, date à laquelle le prêt a été accordé, date d’échéance, terme à courir, taux d’intérêt et capital.

Échéances pour l’envoi des documents au Ministère

  • Rapport de mars : 15 mai 2017
  • Rapport sur les procédés spécifiés et déclaration signée de la direction : 22 mai 2017
  • Liste des emprunts privés : 30 juin 2017
  • Tout conseil qui soumet son rapport après le 15 mai 2017 verra sa rentrée de fonds réduite de 50 % pour juin 2017 et les paiements de transfert subséquents. Sur présentation des rapports requis, le Ministère reprendra le paiement mensuel normal et y inclura le montant total retenu.

Sommaire des documents mis en ligne par le Ministère

Confirmation des programmes de la Majeure Haute Spécialisation pour 2017‑2018

Texte de la note de service du 24 mars 2017

Le Ministère transmet aux conseils scolaires un formulaire de confirmation qui énumère les programmes de la majeure approuvés et existants qui seront offerts dans les écoles secondaires identifiées ainsi que les prévisions d’effectifs pour 2017‑2018 et le taux d’obtention du diplôme d’études secondaires de l’Ontario (DÉSO) avec sceau de la majeure en 2015‑2016. Il demande aux conseils de ne pas annoncer cette approbation par communiqué de presse ni autrement avant d’avoir reçu son autorisation.

Pour l’année scolaire 2017‑2018, le secteur des Technologies de l’information et des communications et le secteur des Transports connaissent la plus grande expansion, avec 14 et 13 programmes respectivement. Le calcul du financement des programmes de la majeure inclura une limite maximale des effectifs par programme en fonction du taux d’achèvement du DÉSO avec sceau de la majeure et de la moyenne des effectifs de chaque secteur. Les programmes plus anciens (en existence depuis 4 ans ou plus) qui ont eu un taux d’achèvement de la majeure inférieur de 10 % à la moyenne de chaque secteur en 2015‑2016 recevront un financement maximal basé sur le nombre moyen d’élèves dans le secteur. Cette limite touchera 200 programmes (7 programmes en français) dans 52 conseils scolaires (4 conseils scolaires de langue française).

Les conseils doivent confirmer leurs programmes de 2017‑2018 et retourner le formulaire au Ministère avant le 5 avril 2017. Ils recevront ensuite une autre note de service indiquant leur financement

Les responsables de la majeure dans chaque conseil participeront à une rencontre Adobe Connect afin de passer en revue les nouveaux programmes et le modèle de financement de 2017‑2018. Les membres du personnel qui offriront un nouveau programme prendront part à une séance d’orientation à Toronto le 17 mai 2017.

Site Web de la Stratégie renouvelée pour l’enseignement et l’apprentissage des mathématiques (SRM)

Texte de la note de service du 28 mars 2017

Le Ministère présente ce nouveau site Web (http://srm.apprendreenseignerinnover.ca), qui décrit les séances d’apprentissage offertes en français aux leaders en mathématiques et aux leaders du système ainsi que les ressources disponibles afin de soutenir l’apprentissage et l’enseignement des mathématiques.

Afin de bien préparer la relève pour la mise en œuvre de la SRM dans les conseils scolaires, le Ministère fournit une brève description des rôles associés à la SRM :

  • Facilitateurs systémiques – Chaque conseil doit avoir deux facilitateurs systémiques qui détiennent des expertises complémentaires en mathématiques (à l’élémentaire et au secondaire) et travaillent ensemble à soutenir l’apprentissage professionnel.
  • « Enseignant lead-apprenant » – Il s’agit d’une enseignante ou un enseignant déjà en fonction dans une école. Chacun d’eux aura droit à cinq jours de suppléance. Ce rôle vise à bâtir la capacité de l’école.

Le colloque du printemps de la SRM aura lieu les 17 et 18  mai 2017 et réunira les leaders en mathématiques (facilitateurs systémiques et conseillers pédagogiques en mathématiques) ainsi que les leaders du système.

Retrait de la documentation sur la Commission Motherisk

Texte de la lettre du 29 mars 2017

Le 20 mars, le Ministère avait demandé aux conseils scolaires de distribuer dans les écoles des renseignements au sujet des services de la Commission Motherisk. À la suite de préoccupations exprimées par des parents, des élèves et des défenseurs de droits, il demande maintenant aux conseils scolaires de retirer immédiatement les affiches et la documentation en question de toutes les écoles et de tous les médias sociaux.

Ces affiches auraient pu avoir des répercussions négatives pour certains élèves. Si des élèves craignent qu’elles aient suscité un intérêt personnel non désiré à leur égard, ils devraient demander du soutien au personnel de leur école. Les conseils devraient signaler aux responsables en santé mentale ainsi qu’au personnel d’orientation que certains élèves pourraient avoir besoin de soutien à ce propos.

Publication de ressources pédagogiques en éducation environnementale

Texte de la note de service du 30 mars 2017

Le Ministère annonce que les ressources pédagogiques sur la portée et l’enchaînement des attentes et contenus d’apprentissage en éducation environnementale à l’élémentaire et au secondaire sont affichées sur son site Web. Le Ministère ne produira pas d’exemplaires imprimés de ces ressources, qui sont destinées aux conseils scolaires, aux écoles et aux autres groupes d’intervenants du secteur de l’éducation. Ces ressources ont été conçues afin d’appuyer l’engagement du gouvernement à l’égard de l’éducation environnementale et reflètent les révisions apportées au curriculum de l’Ontario afin d’accroître les occasions d’apprentissage des élèves en matière d’environnement.

Annonce des subventions pour les besoins des élèves de 2017‑2018

Texte de la lettre de la ministre du 30 mars 2017
Texte de la lettre du sous-ministre du 30 mars 2017

Les Subventions pour les besoins des élèves de 2017‑2018 seront annoncées le 12 avril 2017. Une téléconférence à l’intention des membres de la Table ronde de partenariat aura lieu ce jour-là à 9 h 30. Les renseignements techniques et les prévisions complètes par conseil seront aussi affichés sur le site Web du Ministère en fin de journée.

Sommaire des documents mis en ligne par le Ministère

Séances de formation : maternelle et jardin d’enfants

Texte de la note de service du 17 mars 2017

Au cours des dernières semaines, le Ministère a mené trois séances de travail en français à Toronto, Sudbury et Ottawa afin de développer la capacité de leadership pour la mise en œuvre des documents Programme de la maternelle et du jardin d’enfants et Faire croître le succès – Le supplément de la maternelle et du jardin d’enfants. Ces séances ont été un franc succès, et les participants ont exprimé le désir de participer aux séances offertes par l’équipe anglophone pour approfondir leur capacité de leadership pédagogique. Les conseils scolaires de langue française sont donc invités à participer à l’une des séances de deux jours qui seront offertes en mai 2017 à Toronto, Sudbury et Ottawa. Ces séances se dérouleront en anglais et sont facultatives.

Chaque conseil scolaire de langue française pourra envoyer jusqu’à 10 personnes aux frais du Ministère : leaders de la petite enfance, conseillères et conseillers pédagogiques du cycle préparatoire, directions d’école, leaders pédagogiques, et équipes pédagogiques de la maternelle et du jardin d’enfants. Le formulaire d’inscription doit être retourné au Ministère au plus tard le 7 avril 2017.

Paramètres des dépenses et exigences en matière de rapports sur l’éducation en plein air pour 2016-2017

Texte de la note de service du 20 mars 2017

À compter de la présente année scolaire (2016‑2017), les fonds consacrés à l’éducation en plein air sont fournis dans une enveloppe de la Subvention pour programmes d’aide à l’apprentissage qui englobe six autres allocations finançant directement les programmes d’amélioration du rendement des élèves.

Tout comme en 2015‑2016, le financement de l’éducation en plein air est destiné aux dépenses consacrées aux activités en plein air qui sont liées directement à la participation des élèves. Le développement de partenariats avec des groupes communautaires est exigé pour 2016‑2017 afin que l’expansion des liens entre les conseils scolaires et les organismes communautaires et sans but lucratif se continue. Tout financement inutilisé devra être traité comme un revenu reporté pour les dépenses futures dans le programme.

Les dépenses admissibles sont les suivantes :

  • frais liés à la participation à des activités d’apprentissage en plein air offertes par les conseils scolaires ou des organismes tiers, tels que des organismes communautaires ou sans but lucratif;
  • frais d’utilisation de l’expertise, des installations ou des ressources d’organismes communautaires aux fins des activités d’éducation en plein air;
  • frais de transport;
  • suppléance du personnel enseignant.

Le financement ne peut pas être utilisé pour la dotation en personnel, les frais administratifs, les coûts liés aux installations du conseil scolaire (p. ex., réparations, équipement), et l’achat ou l’élaboration de ressources d’apprentissage.

Les conseils scolaires doivent faire rapport sur l’ensemble du financement consacré à l’éducation en plein air au cours de l’année scolaire 2016-2017, au moyen d’un outil en ligne appelé PRARE (Planification et rapports pour l’amélioration du rendement des élèves). Les critères de déclaration sont les mêmes qu’en 2015‑2016. De plus, les conseils devront décrire la nature des partenariats formés avec des organismes communautaires et sans but lucratif, les enseignements tirés de ces partenariats, les difficultés rencontrées et les moyens prévus pour régler celles-ci. Le Ministère enverra des précisions et des directives sur la déclaration des dépenses d’éducation en plein air aux personnes-ressources des conseils scolaires au printemps de 2017.

Renseignements pour les élèves au sujet des services de la Commission Motherisk

Texte de la note de service du 20 mars 2017

Le gouvernement de l’Ontario a établi la Commission Motherisk afin d’examiner des cas individuels liés à la protection de l’enfance et d’offrir un soutien aux personnes touchées par des analyses erronées du laboratoire Motherisk de l’Hospital for Sick Children de Toronto. Dans son rapport d’examen indépendant publié en décembre 2015, la juge Lang a conclu que les analyses de dépistage de drogues et d’alcool à partir de mèches de cheveux qu’effectuait ce laboratoire étaient inadéquates et ne pouvaient être utilisées à des fins juridiques.

Le Ministère est déterminé à appuyer le travail de la Commission, et il demande aux conseils scolaires de distribuer des renseignements au sujet des services de la Commission dans les écoles (dont une affiche), de sorte que le personnel, les élèves et les parents puissent en prendre connaissance. Il est primordial que la Commission rejoigne le plus grand nombre possible de personnes potentiellement touchées afin de les orienter vers des services juridiques et de counselling. Dans le cadre de leurs contacts directs avec des enfants et des parents, des enseignants et des conseillers en orientation auraient pu avoir connaissance de familles touchées par ces analyses erronées.

Heure de code : Prochaines étapes

Texte de la lettre du 24 mars 2017

En décembre 2016, environ 74 % des conseils scolaires de l’Ontario se sont inscrits au programme Heure de code, qui a permis aux élèves et au personnel enseignant d’organiser des activités de développement de la pensée informatique dans leurs écoles.

Le Ministère a élaboré de nouveaux plans de leçon pouvant servir à enseigner la programmation. Ces ressources seront bientôt accessibles en français sur le site Web edusourceontario.com. Le Ministère produira bientôt une liste d’organisations disposées à fournir, sans frais, une formation d’une journée assurée par un spécialiste aux conseils scolaires, dans le cadre de l’initiative Heure de code. Les directions de l’éducation recevront sous peu de plus amples renseignements à ce sujet.

2017:SB05 – Fiducies de soins de santé au bénéfice d’employés (FSSBE) : Mise à jour sur les phases 4 et 5

Texte de la note

Le 1er février 2017, 11 conseils scolaires participant à la phase 2 et les 12 conseils de langue française participant à la phase 3 ont fait la transition vers les FSSBE, ce qui représente plus de 27 000 employés du secteur de l’éducation. Plus de 52 000 autres employés feront la transition lors de la phase 4, ce qui portera le nombre total d’employés recevant des avantages sociaux par l’entremise des FSSBE à 125 000 au 1er avril 2017. Les commentaires reçus des syndicats, des fédérations et des conseils scolaires montrent que l’expérience de la transition s’est améliorée pour tous les intervenants au cours des phases 2 et 3.

Le Ministère communique la liste des conseils scolaires qui participeront aux phases 4 (1er avril 2017) et 5 (1er juin 2017). Il indique aux conseils de la phase 5 les tâches qu’ils doivent accomplir en vue de la transition et leur signale l’importance de se conformer aux délais et les conséquences possibles du non-respect des conventions de fiducie. Il rappelle qu’il offre toujours une aide aux conseils qui ont déjà effectué leur transition et qui continuent de recueillir tous les renseignements nécessaires aux FSSBE.

Le Ministère demande à nouveau aux conseils scolaires de recueillir des renseignements sur leurs coûts supplémentaires non récurrents qui sont directement liés à la transition, d’ici le 31 mars 2017. Il peut s’agir des coûts des mises à jour ou des corrections du Système d’information de gestion des ressources humaines ou des heures supplémentaires du personnel. Ces renseignements permettront au Ministère de rembourser aux conseils ces coûts supplémentaires.

Sommaire des documents mis en ligne par le Ministère

Inventaire des ressources et services en analyse comportementale appliquée (ACA)

Texte de la note de service du 6 mars 2017

Le ministère des Services à l’enfance et à la jeunesse et le ministère de l’Éducation procèdent ensemble à un inventaire des ressources et services actuellement offerts au moyen du Programme de soutien en milieu scolaire et par les spécialistes en ACA qui travaillent dans les conseils scolaires. L’inventaire doit permettre d’évaluer comment les ressources des deux ministères sont utilisées pour soutenir les enfants et les jeunes atteints d’autisme dans les écoles élémentaires et secondaires financées par les fonds publics.

Le Ministère transmet aux conseils scolaires un document fournissant des renseignements généraux et les questions d’un sondage électronique auquel tous les spécialistes en ACA doivent répondre. Il incombe aux conseils scolaires de compiler les réponses obtenues dans un seul document, qu’ils doivent envoyer au Ministère au plus tard le 3 avril 2017.

Examens des installations destinées aux élèves et soutien à l’éducation dans les collectivités rurales et éloignées

Texte de la lettre du 6 mars 2017

Afin de remplir son engagement de trouver des solutions qui répondent aux besoins locaux des collectivités et aux besoins en éducation des élèves de l’Ontario, le gouvernement lancera au printemps une consultation (menée par trois adjoints parlementaires et députés) sur de nouvelles approches visant à favoriser l’éducation dans les collectivités rurales et éloignées.

Recherche de possibilités d’utilisation commune des installations par les conseils scolaires

Les collectivités et le gouvernement s’attendent à ce que les quatre systèmes scolaires optimisent les possibilités de co-occupation. Le gouvernement souhaite vivement que les conseils scolaires, avant d’envisager la fermeture d’écoles, examinent toutes les possibilités d’utilisation commune des locaux avec les conseils coïncidents, notamment afin de maintenir la présence d’une école dans les collectivités rurales et éloignées. Le Ministère s’est engagé à fournir 600 000 $ en vue d’aider les conseils à le faire.

Importance des partenariats entre les conseils scolaires et les municipalités

Le gouvernement rappelle aux conseils scolaires et aux municipalités que, pour faciliter la participation constructive des collectivités aux examens des installations destinées aux élèves, il a prévu des outils :

  • Ligne directrice relative à la planification communautaire et aux partenariats – Depuis 2015, chaque conseil scolaire doit organiser au moins une réunion par année avec les collectivités pour discuter de ses plans d’immobilisations et des possibilités de partenariats en matière d’installations et de planification conjointe. « Il est impératif que ces réunions impliquent l’ensemble des intervenants concernés et facilitent un véritable dialogue entre les conseils scolaires et les collectivités. »
  • Ligne directrice relative à l’examen portant sur les installations destinées aux élèves – Depuis 2015, les conseils scolaires doivent consulter les municipalités et les partenaires communautaires concernant d’éventuels changements touchant les installations. Le gouvernement leur rappelle qu’ils doivent alors formuler des propositions concrètes sous forme de recommandations préliminaires de leur personnel. De plus, dans ses recommandations finales au conseil, le personnel doit tenir compte de tous les avis des municipalités, notamment sur les répercussions économiques et communautaires locales. Afin de soutenir de façon optimale ce type d’analyse, le gouvernement va examiner comment l’incidence sur la collectivité pourrait être incluse dans le processus d’examen des installations (notamment l’impact prévu sur le rendement des élèves, les transports et les résultats).

Création de carrefours communautaires dans les écoles

Le gouvernement réfléchit à la manière dont on pourrait utiliser les biens publics de manière à répondre le mieux possible aux besoins des collectivités locales, et il encourage les conseils scolaires à collaborer à cette fin avec les collectivités. Il a prévu 50 M$ en novembre 2016 pour rénover les écoles hébergeant un carrefour communautaire et pour remplacer les locaux que les partenaires communautaires occupaient dans les écoles fermées ou vendues.

En 2017‑2018, il va examiner les recommandations du rapport Les carrefours communautaires en Ontario concernant la vente des biens scolaires excédentaires à un prix inférieur à la juste valeur marchande « lorsqu’il est dans l’intérêt de la province de créer des carrefours communautaires viables tout en préservant l’intégralité des conseils scolaires ». De plus, le gouvernement tiendra un Sommet sur les carrefours communautaires du 1er au 3 mai 2017. Dans certains cas, il pourrait fournir des services de facilitation afin de permettre aux organismes communautaires, aux municipalités et aux conseils scolaires d’élaborer leurs propositions de carrefours communautaires.

Améliorer l’éducation dans les collectivités rurales et éloignées

Pour soutenir les écoles des régions rurales et éloignées, le gouvernement favorise les occasions d’apprentissage électronique et s’emploie à accorder un accès sécuritaire et abordable à Internet haute vitesse partout en Ontario. De plus, il a modifié la formule de financement des conseils scolaires pour qu’elle repose moins sur l’effectif et tienne compte des besoins particuliers des collectivités rurales et éloignées :

  • Coût plus élevé d’achat des biens et services
  • Coûts de chauffage, d’électricité et d’entretien des locaux excédentaires dans les écoles isolées
  • Facteurs tenant compte de la distance et de la dispersion des écoles pour le financement destiné à l’enfance en difficulté
  • Recrutement de directions supplémentaires dans les écoles regroupant des élèves de l’élémentaire et du secondaire
  • Nombre minimum d’enseignantes et d’éducatrices dans les écoles comptant un effectif restreint

Rencontre provinciale en orientation et mini dialogue de Toronto

Texte de la note de service du 9 mars 2017

Le Ministère invite les porteurs du dossier de l’orientation au niveau des conseils scolaires ainsi qu’une conseillère ou un conseiller en orientation par école secondaire de langue française à participer à une séance d’apprentissage professionnel qui aura lieu à Toronto les 26 et 27 avril 2017. Des ateliers seront animés par le personnel du Ministère et des spécialistes sur le terrain afin de traiter d’éléments suggérés par les porteurs du dossier de l’orientation. Cette séance se tiendra sur divers sites des partenaires postsecondaires bilingues et de langue française de la métropole (dont le Collège Boréal, La Cité et le Campus Glendon de l’Université York), et elle permettra aux participants de prendre connaissance des programmes et services offerts par ces établissements.

La Cité (à Toronto) assurera les suivis pour les inscriptions et les remboursements de frais de déplacement. Les conseils scolaires ont jusqu’au 24 mars 2017 pour inscrire les participants à cette séance.

Un directeur associé des relations de travail pour l’ACÉPO

 

L’équipe de l’ACÉPO s’agrandit et accueille Bruno St-Laurent, le nouveau directeur associé des relations de travail de l’ACÉPO. Il vient prêter main forte à la directrice des relations de travail,Jennifer Lamarche Schmalz.

Bruno St-Laurent a une solide expérience en négociation et dans la mise en oeuvre de conventions collectives qu’il a acquise dans ses rôles de gestionnaire en relations de travail au Conseil scolaire Viamonde et de directeur des ressources humaines au Collège LaSalle à Montréal. M. St-Laurent détient une maîtrise en administration des affaires de l’Université de Sherbrooke et un baccalauréat en droit de l’Université Laval. Durant sa carrière juridique, en pratique privée, il a exercé le droit du travail, de la propriété intellectuelle, de la famille, administratif, commercial, corporatif et civil.

En rejoignant l’ACÉPO, il continue son engagement envers l’éducation laïque de langue française à l’échelle provinciale.

Dialogue avec Denis Chartrand le nouveau président de l’ACÉPO

Ce 21 janvier 2017 vous avez été élu président de l’ACÉPO. Quelle est votre vision pour l’ACÉPO?

Je siège au conseil d’administration de l’ACÉPO depuis plusieurs années et je suis honoré d’avoir été élu président. Nous travaillons dans la continuité ; comme mon prédécesseur, Denis Labelle et avec l’aide du vice-président, Jean-François L’Heureux, des conseillers scolaires, des conseils scolaires, de l’équipe de l’ACÉPO et de nos partenaires, je vais continuer à faire rayonner et grandir l’éducation laïque de langue française en Ontario. Il faut que TOUS les élèves francophones de l’Ontario aient accès à une éducation publique de langue française, et ce partout en Ontario.

Quels sont les ingrédients nécessaires pour développer le système d’éducation laïque de langue française en Ontario?

Tout d’abord les écoles laïques de langue française en Ontario connaissent une croissance remarquable. Avec une augmentation de 58 % d’élèves depuis notre création, il y 18 ans, nous sommes le système d’éducation avec la plus forte croissance. Ensuite nos écoles son inclusives; elles accueillent les francophones et francophiles de toute culture, ethnicité ou religion. Ainsi, elles sont à l’image des communautés francophones en Ontario. Enfin, il y a aussi la qualité de l’éducation offerte et le souci de veiller à l’épanouissement de tous nos élèves sur les plans académique et personnel.

L’ACÉPO et ses conseils scolaires travaillent sans relâche pour faire connaître nos écoles, montrer les réussites des élèves et attirer l’attention du gouvernement sur leurs besoins en matière d’éducation. Nous avons les élèves, les succès, la volonté et les conditions pour développer et faire grandir l’éducation laïque de langue française, pourtant il y a encore 46 endroits en Ontario où les élèves n’ont pas accès à une école laïque de langue française. Il nous faut aussi les fonds du ministère pour pouvoir ouvrir des écoles là où la demande se fait sentir.

Le besoin de nouvelles écoles est l’une de vos revendications auprès du gouvernement de l’Ontario, mais est-ce le seul élément manquant pour assurer le rayonnement des conseils scolaires publics de langue française? 

Augmenter les services et programmes offerts dans nos écoles est une autre de nos revendications. Encore trop d’élèves francophones sont inscrits dans des écoles anglophones ou des programmes d’immersion. Avoir plus d’écoles francophones va donner à ces jeunes la possibilité de choisir l’école de langue française, mais pour que le choix soit équitable, il faut que les écoles de langue française offrent la même gamme de services et de programmes que les écoles de langue anglaise.

Vous êtes actifs depuis bien des années dans le milieu associatif, où puisez-vous votre motivation?

Ce qui me motive, c’est de travailler au rayonnement de la francophonie, c’est de revendiquer pour les droits des francophones, pour un système d‘éducation toujours plus performant et pour que les programmes et services auxquels les élèves francophones ont droit soient à la hauteur de leur potentiel, et ce partout en Ontario.

Notes publiques – Février 2017

Notes publiques – le bulletin de l’ACÉPO.
Des nouvelles de l’ACÉPO, des conseils scolaires publics de langue française de l’Ontario et des questions d’actualité. Accéder à notre bulletin du mois de février en cliquant sur le logo ci-dessous.

 

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Nouveau président et vice-président pour l’ACÉPO

L’ACÉPO a un nouveau président, M. Denis Chartrand, conseiller scolaire au Conseil des écoles publiques de l’Est de l’Ontario (CEPEO) et un nouveau vice-président, M. Jean-François L’Heureux, président du Conseil scolaire Viamonde.

 

Tous les deux ont été élus par acclamation à l’assemblée générale de l’ACÉPO qui se déroulait lors du Symposium sur l’éducation publique fin janvier 2017 à Toronto. La nouvelle équipe à la présidence, sans perdre de temps, s’est mise au travail et redoublera d’efforts pour que tous les élèves francophones en Ontario puissent accéder à des écoles laïques de langue française et s’épanouir dans un milieu francophone.

« Une de mes priorités sera de développer l’efficacité de l’ACÉPO pour renforcer son soutien aux conseils scolaires publics et leurs élèves » a déclaré Denis Chartrand.

« Nous commençons une année charnière, regardons de l’avant, nous allons travailler fort pour développer l’éducation publique de langue française » a annoncé Jean-François L’Heureux.

Le nouveau conseil d’administration de l’ACÉPO, en plus de son président et de son vice-président, est composé de Jean-Marc Aubin, président du Conseil scolaire public du Grand Nord de l’Ontario (CSPGNO); Lucille Collard, vice-présidente du Conseil des écoles publiques de l’Est de l’Ontario (CEPEO); Michel Faucon conseiller scolaire au Conseil scolaire public du Nord-Est de l’Ontario (CSPNE); Denis Labelle, président du Conseil scolaire public du Nord-Est de l’Ontario (CSPNE); Pierre Lambert, conseiller scolaire au Conseil scolaire Viamonde et Donald Pitre, conseiller scolaire au Conseil scolaire public du Grand Nord de l’Ontario (CSPGNO).

L’ACÉPO remercie M. Denis Labelle et Mme Linda Savard respectivement président et vice-présidente sortants, pour tout leur travail. L’association et ses membres ont pu compter sur eux pour faire avancer leurs priorités et pour défendre avec vigueur et conviction le système d’éducation public de langue française en Ontario.

 

 


Sommaire

Symposium sur l’éducation publique 2017

Dialogue avec Denis Chartrand le nouveau président de l’ACÉPO

Départ à la retraite de la directrice générale de l’ACÉPO

Retour sur l’année 2016

Un directeur associé des relations de travail pour l’ACÉPO

Recensement canadien mieux identifier les francophones

Côté du ministère de l’Éducation

 

Pour en savoir plus